8 au 18 janvier 2024 : l'île Palawan 

L’archipel des Palawan, qui porte le nom de l’île principale, est situé à l’ouest des Philippines et regroupe 1790 îles et îlots situés entre la mer de Chine méridionale et la mer de Sulu 😳 ! 

« Le dernier refuge ». C’est ainsi que Jacques-Yves Cousteau qualifiait le chapelet d’îles de Palawan, dont les fonds cristallins abritent des coraux et une faune aquatique extraordinaires. Le commandant aurait même dit que c’était l’un des plus beaux paysages marins qu’il ait jamais vu…

Nous prévoyons donc de consacrer une dizaine de jours à la visite de l'île de Palawan proprement dite.

C’est en avion depuis Cebu-ville que nous rejoindrons Puerto Princesa. Située en plein centre de l’île, cette ville est la capitale et la porte d’entrée pour la découverte de l’archipel. 

Notre itinéraire nous conduira dans un premier temps de Puerto Princesa à Port Barton. Puis nous ferons ensuite route vers El Nido (d’où nous devrions repartir pour 3 jours de navigation sur l’île de Coron si les conditions météo le permettent). 

 

8 janvier 2024 : Puerto Princesa

7h30 : Après une excellente nuit au frais (nous avions la clim), nous trouvons un tricycle qui veut bien nous emmener à l’aéroport distant de 6 kilomètres pour la modique somme de 1,60 €. Nous acceptons avec entrain.

C’était sans compter sur le fait que ce genre d’engin ne peut pénétrer dans l’enceinte de l’aéroport. Nous sommes donc déposés à au moins 1 km de notre terminal de départ ! C’est à pied, transpirant et puant, que nous atteignons l’aéroport. Pour une fois, no stress, nous arrivons 3 heures avant notre vol de Philippines Airlines prévu à 11H00 ! 

 

 

Ne gâchons pas notre plaisir, on est surclassé… Seats 2A et 2B ! Juste derrière la cabine de pilotage… Nous avons à notre disposition une bouteille d’eau, un coussin, une couverture et surtout… de la place pour nos guiboles ! C’est pas non plus Waouhhhhh mais les autres, les « petites gens» ou les « sans dent » (comme dirait François) quoi, n’ont pas droit à tout ça 🤣🤣🤣 ! 

12H30. C’est sous un soleil de plomb que nous posons nos tongs sur le tarmac de l’aéroport de Puerto Princesa. Le joli nom de la capitale de Palawan est un héritage de la colonisation espagnole… 

 

 

 

 

 

 

Un « petit » coup de tricycle...

 

 

 

 

 

 

...et nous voilà devant l’établissement Amor’s place. Ce n’est pas le grand luxe et en plus, le lit est tout petit, mais ça a l’avantage d’être propre et bien situé. 

Il semblerait que Puerto Princesa n’offre pas aux visiteurs pléthore de curiosités. La ville est plutôt considérée comme une porte d’entrée pour découvrir « les Palawan ». Nous n’avons donc prévu qu’une demi-journée sur place. Sitôt les sacs à dos déposés, nous partons à la découverte de PP…

Ici, pas de site historique particulier excepté la cathédrale d’un blanc immaculé où il fait bon se mettre au frais !  

Nos pas nous conduisent dans un village de pêcheurs situé en bordure de la baie de Puerto Princesa.

Au fur et à mesure que l’on se rapproche, on est convaincu que les Philippines ne sont pas que des plages paradisiaques bordées de cocotiers…

ll est 17H00, d’innombrables bateaux sont amarrés sur le « quai » et préparés pour la pêche du lendemain.

À l’entrée du « village », le poste de « police » veille sur le quartier.

L’endroit est très pauvre et, à priori, peu hospitalier pour un étranger.

Et pourtant… Dès que nous pénétrons au cœur de ce quartier, l’animation qui y règne respire la joie de vivre… 

De jeunes gens jouent au basket-ball, le sport national, parfois en tongs ou même pieds nus…

Des adolescentes reviennent de l’école revêtues de leurs uniformes tout propret et n’hésitent pas à engager la conversation.

Les « petitouts », quant à eux, jouent dans la seule rue du quartier, sous le regard bienveillant de leurs aînés !

On a tout..  Ils n’ont pas grand chose… si ce n’est cette joie de vivre qui semble caractériser les Philippins quelque soit leur niveau social…

Les « Hellos », « good afternoon » fusent de toute part ! Les sourires timides nous vont droit au cœur, ce qui nous fait un bien fou ! Aucune animosité, aucun regard hostile…

On ne sait ce que nous réserve la suite du voyage mais à aucun moment nous ne nous sentons en insécurité ce qui semble être une constance dans cette partie du monde !

Notre journée se termine dans un petit restau en bordure de la baie. Nous faisons la connaissance de « nos voisins de table », un couple philippino / japonais et leur ado… Nous passons une très agréable soirée en leur compagnie. Ils nous proposent même de nous déposer avec leur voiture « chez nous » à la fin du repas ! 

Merci les amis

Thank you friends

Salamat mga kaibigan

皆ありがとう

Mina arigatō

 

 

 

 

9 - 12 janvier 2024 : Port Barton

9H00 : c’est dans le hall de notre guesthouse que nous attendons le van qui va nous emmener à Port Barton en 3 heures.

 

 

 

 

 

 

Port Barton... Ce village de pêcheurs, qui était encore éloigné de tout il y a à peine 5 ans, n’est plus aujourd’hui hors des sentiers battus. Il est même devenu une étape incontournable de tout voyage à Palawan. Une route goudronnée permet maintenant d’y accéder et des voyageurs de toutes nationalités s’y « précipitent » !

À notre arrivée, nous sommes agréablement surpris par l’ambiance décontractée qui se dégage de ce tout petit village inséré entre une plage de sable blanc bordée de cocotiers et  une jungle épaisse. Port Barton se limite en fait à quelques rues en terre.

Notre hébergement est, une fois de plus, des plus basique…

À 13 heures, les rues sont paisibles.

Mais, dès le soir venu, le village s’anime. Locaux et touristes se retrouvent alors dans une ambiance festive. Les bars et restaurants du bord de plage s’illuminent de mille feux...

 tandis que la « main street » vit au rythme des matchs de basket.

Des stands de restauration, essentiellement sous forme de barbecues, s’installent au milieu de la ruelle dans une ambiance bon enfant !

 

10 janvier 2024 : Island Hopping 

« Avez-vous fait du Island Hopping » ?

Le quoi ? Quesaco  ? 

En fait, le Island Hoping consiste à partir en excursion de une ou plusieurs journées à bord d’une banka, le bateau Philippin à moteur, en bois et bambou, et de voyager d’île en île pour admirer les récifs coralliens, la faune sous marine et les plages de rêve.  

Vu que nous ne souhaitons pas renouveler la mauvaise expérience vécue sur l’île de Balicasag, nous privilégions un tour privé à un tour… collectif. On préfère payer davantage mais savourer comme il se doit notre journée. La veille, nous faisons connaissance de Rachid et Louisa et c’est donc avec eux que nous allons faire notre premier Island Hopping privé !

Petit-déjeuner matinal sur la plage entouré comme souvent, non, toujours, de meutes de chiens !

7H30 : nous embarquons sur notre banka avec « 3 membres d'équipage » pour un journée que nous espérons « fabuleuse ».

Nous sommes seuls pour découvrir les  « fonds sous-marins ». Un vrai régal...

Nous avons la chance de suivre une tortue et de nager au milieu de magnifiques coraux et surtout d’une multitudes de poissons multicolores !

Nous faisons une halte casse-croute sur une ile presque déserte. Rien d'autre à faire que de se prélasser au soleil en attendant le repas.

La journée est parfaite grâce au talent de cuisinier de nos accompagnateurs.

Au menu : 

Thon / poulet / porc

Riz / ratatouille de légumes

Fruits frais

Miam miam ! 

Il ne manquait que le fromage et la baguette fraîche…

La journée est d’autant plus agréable que nous sommes seuls sur chaque spot de snorkelling.

De retour sur la terre ferme, nous terminons la soirée avec nos nouveaux amis et deux voyageurs suisses de façon très sympathique dans l’un des innombrables bars de plage !

 

11 janvier 2024 : plages et cascades 

Aujourd’hui, pas de Island Hopping. C’est en 2 roues que nous nous rendons aux principales curiosités des environs de Port Barton.

Le  « Total local » dans lequel nous faisons le plein de notre scooter vaut le détour ! Au premier abord, nous avons pensé que la station était désaffectée. Que nenni ! Ça et là, une carcasse de bus, une autre de bateau et autre véhicule à moteur occupent l'espace ! Un vrai cimetière d'engins à moteur !

En route pour les cascades de Pamuayan.

Depuis notre arrivée aux Philipines, nous n'avons jamais vu de gamins jouer au foot... Ici le basket est roi et se joue de partout, même au beau milieu des routes (héritage de la présence américaine dans ce pays) !

1/2 heure plus tard, nous parvenons au point de départ de la balade du jour...

Une rando d’une petite 1/2 heure dans la « jungle » nous permet d’atteindre la cascade et son bassin si rafraichissant.

Après la cascade, nous nous dirigeons vers le bord de mer.

La plage Pamuayan est tout simplement la plus belle du coin. Lorsque nous débarquons sur le sable blond, c’est simplement un choc visuel : Wouah !

Une seule guesthouse avec ses 2 bungalow est installée sur cette pépite.

Une baignade s’impose.

Pour la amateurs de plage et de solitude, c’est incontestablement l’endroit parfait…

Coconut beach se mérite. Le chemin d’accès est des plus délicat puisque ici aussi, la route asphaltée laisse très rapidement place à un chemin de terre assez chaotique. S’agissant d’une plage privée, nous nous acquittons du droits d’entrée (0,80 € / pers).

 

 

 

 

 

La plage quasi-déserte est très belle et bordée de cocotiers. Enfin quasi-déserte si on fait abstraction des porcs et des chiens qui se promènent sous nos yeux amusés…

À deux kilomètres de Coconut Beach se trouve White Beach, une autre plage incontournable.

Le chemin est de plus en plus problématique à cause de la boue et, à plusieurs reprises, je suis débarquée du scooter. Ça glisse, ça ripe… mais ça passe ! 

Là aussi, il faut payer un droit d’entrée (0,80 € / pers). La plage est peu fréquentée et nous trouvons donc aisément une place pour nous poser à l’ombre des cocotiers ! 

Notre deuxième journée dans ce petit havre de paix s'achève et demain nous devrons continuer notre voyage !

Même si les minivans déversent quotidiennement des touristes, essentiellement occidentaux, à la gare routière, Port Barton conserve encore une certaine authenticité. Mais dès que les infrastructures hôtelières le permettront, il y a tout lieu de penser que le tourisme de masse affluera dans ce village qui perdra alors son âme.

Pour l’instant, Port Barton est notre gros coup de ❤️ aux Philippines !

 

12 au 17 janvier 2024 : El Nido

C’est à 8 heures et avec regret que nous quittons l’adorable village de Port Barton.

Notre prochaine étape est El Nido.

Cette petite ville située au Nord de Palawan semble être le must d’un voyage aux Philippine notamment parce qu’elle donne accès à l’un des sites réputé pour être l’un des plus beaux du monde : l’archipel de Bacuit.

 

3 heures plus tard, le minivan nous dépose à la gare routière de El Nido.

Nous passons l'après-midi et la fin de journée à arpenter les ruelles. Si l’on compare avec Port Barton, le contraste est saisissant. Le village de pêcheurs est devenu, en quelques années seulement, une ville côtière hyper touristique, donc bruyante comme il n’est pas permis.

Côté terre, les tricycles encombrent les rues, les immeubles en constructions défigurent le paysage, les boutiques et restaurants sont édifiés à même la plage qui est inexistante à marée haute… 

Côte mer, des centaines de bankas occupent la baie de 17H00 à 10H00. En journée, les bateaux transportent des hordes de touristes sur les divers spots de l’archipel de Bacuit.

Ici tout est « business is business », mais malgré tout, l’ambiance est plutôt sympa, d’autant que les vendeurs de tout et de rien ne se montrent pas insistants auprès des touristes.

Bref le développement anarchique et la surpopulation touristique font de El Nido une ville sans aucun charme.

Mais nous ne sommes pas venus jusqu’ici pour traîner nos sandalettes dans les rues de El Nido. Notre hôtel, qui s’avérera être le meilleur que nous ayons eu depuis le départ, nous servira simplement de base pour explorer les alentours. 

Nous passons la soirée avec nos amis français de Port Barton, Rachid et Louisa avec qui nous avons prévu de privatiser à nouveau une Banka.

 

13 janvier 2024 : Island Hoping : Tour A en bateau privatisé 

Il y a 4 tours à El Nido. Les A, B, C et D. Chacun suit un itinéraire bien défini et comporte 4 ou 5 arrêts : curiosités, plages et snorkelling. 

Nous optons pour le Tour A, le plus populaire parmi les touristes. Pour éviter, dans la mesure du possible, de nous retrouver sur les spots entre deux bateaux de chinois, nous optons pour un tour privé. On le répète, on n’a rien contre eux mais ils sont tellement lourdingues avec leurs selfies  à « 2 balles » qu’on préfère les éviter !

Nous avons RDV avec nos « boat men » à 7H45. Ce n’est « que » vers 8H30 que nous rejoignons la banka… soit avec 1H30 d’avance sur les « tours partagés » qui quittent la baie vers 10H00.

Bien installés, nous mettons le cap vers l’archipel de Bacuit, situé dans une baie considérée comme l’une des plus belles du monde.

Des dizaines d’îles et îlots, des lagons aux eaux turquoise, le tout dans un décor formé d’immenses pics karstiques, voilà le paysage que nous découvrons au plus on s’éloigne de El Nido.

Les formations qui émergent ça et là de cette surface horizontale nous rappellent d'ailleurs celles de la baie d'Along au Vietnam !

Le premier arrêt se fait sur  « Seven Commando Beach ». 

Située sur l’île de Palawan mais inaccessible par la terre ferme, cette immense plage de sable blanc est principalement faite pour se détendre, bronzer et se relaxer. L’eau est limpide. Toutefois, il y a peu de coraux.

Une zone est délimitée par des bouées qui indique où on peut nager et surtout snorkeller sans danger, car ici les bateaux sont très fréquents.

En revanche, un banc de tout petits poissons vient à notre rencontre…

Bref, ça vaut surtout pour la baignade dans une eau à la température des plus agréable !

Le Big Lagoon a tout pour nous combler… à l’exception des visiteurs déjà présents sur les lieux… Une jolie balade en canoë nous permet d’apprécier les très hautes falaises karstiques. L’eau turquoise tranche avec le noir des falaises verticales et, si l’on rajoute la végétation luxuriante… le tableau devient magique !  

De l’autre côté de l’île de Miniloc se trouve le Secret Lagoon.

Il se situe derrière une ravissante plage de sable blanc bordée de quelques cocotiers. Pour accéder à ce lagon secret, on doit passer par un trou creusé dans la roche.

Le lagon est plutôt petit, entouré d’énormes falaises karstiques d’un noir intense, l’eau est particulièrement trouble vu que nous ne sommes pas les seuls. Mais le site reste très beau ! 

La fringale commence à se faire sentir et c’est à bord de notre banka que nous « dévorons » nos boîtes-repas et nos excellents fruits.

Le retour vers El Nido est des plus mouvementé. Le vent a quelque peu forci, la mer est formée et les vagues nous éclaboussent…

Nous mettons les pieds à terre complètement trempés mais  totalement satisfaits de notre journée. 

 

14 janvier 2024 : Twin beach et Nacpan Beach

On alterne banka et scooter. Donc, aujourd’hui, c’est journée scooter !

Les deux plages sont situées à 3/4 h de route de « notre camp de base ». 

Nous apprécions de circuler loin du tumulte de El Nido et de retrouver la « vrai vie » des Philippins.

Nous aimons croiser les jeepneys bondés, les tricycles et les side-car qui transportent les petites familles.

La route asphaltée se transforme en piste quelque peu chaotique dans les derniers kilomètres mais tout est ok grâce à Éric et à sa dextérité au guidon de notre bolide.

La Twin Beach est belle…

Mais la Nacpan Beach est sublime !

Il est vrai que quelques restos et quelques paillotes de massage ont pris place sur l’immense cordon de sable blanc...

mais en s’éloignant un peu, on trouve une plage immaculée, parfaite pour se détendre et se relaxer ! 

 

 

 

15 janvier 2024 : Tour D en bateau partagé

A la base nous optons pour le tour C mais vu le vent, les gardes côtes l’interdisent et on se retrouve sur le tour D. 

Peu importe, ça nous va aussi !

Nous voilà, rassemblés sur la plage… en attendant d’être dispatchés sur les différents bateaux…

 

 

 

À 10h30, on y go !

Ici, aux Philippines, ce n’est pas le bateau qui vient à toi, c’est toi qui va au bateau… C’est dire qu’en fonction des marées et du lieu d’amarrage, tu peux avoir de l’eau jusqu’au épaules lorsque tu embarques, ou débarques… d’où la nécessité d’avoir un sac étanche pour garder au sec les « effets personnels » mais surtout les appareils photos ou téléphones !

 

Les « courts sur pattes » (les chinois) sont évidemment à la ramasse 😂 ! Mais une fois de plus, on a absolument rien contre eux !

Notre embarcation se remplit un peu, beaucoup…

Euhhhh… passionnément ! 32 autres touristes nous accompagnent… C’est encore davantage que dans nos rêves les plus fous… Enfin, nos cauchemars les plus extrêmes 🤣 ! Aïe Aïe Aïe !

« Cherchez Charlie » !

Nos « boat men » se présentent… et en route, enfin en mer,  dans une ambiance de groupes survoltés 🤣 ! 

On débarque à l’entrée du Small Lagoon, le petit frangin du Big Lagoon d’hier. Il y a quelques bateaux mais finalement vu que nous sommes partis bien longtemps après les autres, ça peut le faire ! 

On décide aujourd’hui de ne pas louer de canoë (5 €) mais d’y aller à la nage… Un peu d’exercice nous fera du bien car on commence à se ramollir après 50 jours d’inactivité physique…

L’eau est chaude… et c’est un réel plaisir d’évoluer dans ce lagon aux eaux turquoise… Et toujours les formations karstiques d’un noir intense qui subliment le tableau.  

Alors, concernant le repas c’est un grand moment d’émotion ! 😂

On est débarqué sur une plage qui doit être belle lorsqu’elle est déserte.

Une table est installée avec tout de qu’il faut pour se restaurer : riz, pâtes, saucisses, poulet, poissons, crevettes et régimes de bananes… Une fois l'assiette en carton et la cuillère en bois en mains, on se précipite sur le buffet ! Mais avant, on immortalise le moment…

« Cherchez Charlie » ! 🤣

Le couple, à droite de la photo, ne fait pas partie du groupe et avait choisi cette plage déserte pour se relaxer...

Et bien, on peut dire que c'est loupé ! 🤣

Les haltes s’enchaînent mais à force on ne retient plus les noms, tout se mélangent dans nos petites têtes…

Mais le Cadlao Lagoon retient notre attention… Nous voulons pénétrer dans le lagon à la nage mais le prétexte bidon… C’est trop loin, donc obligation de louer un canoë… Grrrrr. Tant pis, c’est à bord de notre frêle embarcation que nous nous lançons sur les eaux verte et translucide du lagooooooon….

La journée se termine après avoir pris un bon bol d'air (et de chinoisssssss) !

 

16 janvier 2024 : repos complet

Il fait un vent à « décorner un bœuf »… 

Pas de plage… aujourd’hui ! 

Rien, on se repose…

À 17h30, on doit assister à une réunion pour mise au point de notre « croisière » 3 jours / 2 nuits qui va relier El Nido à Coron situé plus au Nord.

À 14 heures, on reçoit un message nous disant que le départ de demain matin est reporté pour des raisons de sécurité en raison d’une météo défavorable. 

On espère que le vent cessera dans les jours à venir. Dans le cas contraire, on avisera… 

 

17 janvier 2024 : la balançoire de Lio Beach…

La journée débute sous les meilleurs auspices… 

Un scooter, une belle balade...

et encore une plage de rêve, des cocotiers et du soleil...

et deux balançoires qui n’attendent que nous… On se doit d’immortaliser cet instant si précieux !

On va tout donner : «  Genre tu veux faire stylé pour mettre une photo glamour sur Instagram ». On prend la pose. Éric s’apprête à arborer son sourire ravageur…

et soudain, alors que rien ne le laissait présager… la balançoire oscille d’avant en arrière, de gauche à droite… Éric n’est plus maître de la situation et il s’étale de tout son long sur le sable blanc…  P…  il est mort ! 🤣

 

 

 

 

 

Les dizaines de chinois qui assistent à la scène le regardent… médusés… 🤣🤣🤣 !

La vengeance de l’empire du milieu !

 

 

 

 

 

C’est trop bon Éric, tu as fais ma journée ! 

Mais la balançoire, c’est comme le vélo. Quand tu tombes, tu te relèves et tu recommences !

Les photos, après une vingtaine de tentatives !

 

On a pris des risques mais on y est arrivé ! 

C’est ce soir à 17 heures 30 que l’on saura si les gardes côtes donnent l’autorisation aux bateaux de naviguer entre El Nido et Coron…

Alors 🤞 !